dimanche 6 septembre 2015

Un nouveau jouet.

Ca y est, j'ai craqué...
Je viens d'acheter un nouvel appareil.
C'est un chassis de pap1400 avec un moteur de P80.
Je l'ai acheté à Troyes, à un gars qui a l'air sympa, il a lui-même monté ce moteur sur le chassis.
Maintenant, vu mes capacités en mécanique, j'espère que ça va bien se passer.
L'appareil a l'air propre, reste juste à le tester.
1900 euros, ce n'est pas donné, mais, comme je dis souvent: En grandissant, seul le prix des jouets change...

vendredi 22 mai 2015

Grounded

D'habitude, j'essaie d'écrire rapidement après mes vols pour rester sur mes impressions "à chaud".
Ça n'a pas été possible ce coup ci parce que l'hôpital n'avait pas de connexion internet ;-)
Je me suis planté méchamment. Pas trop mais assez pour prendre un peu de vacances.
Revenons au vol:
J'ai pris la Koovan's parce qu'il n'y avait pas de vent au Fay. J'ai galéré pour décoller mais mon déco est impeccable. Je me mets dans la sellette, encore bon, rien à redire. Ensuite, je tourne à gauche, un peu trop fort, c'est à dire avec la puissance que je mets pour la Tomahawk (et encore, je n'ai pas été comme une brute) et là, je ne comprends pas exactement ce qu'il se passe: l'aile semble déraper dans l'air, descend avec une pente de 45° ( Je dis ça mais je n'ai pas mesuré) et je vois le sol s'approcher beaucoup trop vite.

La chute est inévitable.
J'amortis le maximum possible avec mes membres inférieurs mais les conneries apprises pendant mes vieux cours de physique qui parlaient d'énergie cinétique et d'énergie potentielle ont raison de mes jambes.
Je n'ai visiblement pas tout amorti vu la douleur que j'ai dans le dos.
Pendant que je reste couché, un gars sur le terrain appelle les pompiers.
Ensuite, c'est l'hôpital de Sens qui fait les scanners et qui m'annonce un minimum de deux mois de repos.
J'ai deux vertèbres cassées.
Mais ils vont discuter avec l'hôpital de Dijon pour voir si une opération serait envisageable.
J'ai le moral en dessous du niveau des chaussettes.
Dijon veux s'amuser et m'invite. A priori, je n'ai rien à perdre... Une balade jouissive de plus de deux heures avec mes vertèbres pétées et un coque de transport qui se dégonfle et me voilà à Dijon.
Un neurochirurgien qui passait par là m'explique qu'ils vont redresser les vertèbres et les remplir de résine pour que ce soit plus solide qu'avant.
Super, au moins je serai encore droit.
Je lui demande, on ne sait jamais, s'il ne veux pas remplir aussi les vertèbres en bon état pour être super-solide, mais il refuse. Dommage.
Après l'opération, une super bonne ( ou mauvaise, je ne sais pas) nouvelle: je n'aurai droit qu'à deux semaines de vacances avant de reprendre le travail.
De toutes façons, je ne reprendrai les vols que quand le neurochirurgien me donnera son accord, et je ne le vois que dans un mois. (Le temps de voir les dégâts sur le châssis et le moteur? ) 
Comme je partage les bons moments, voila l'intégralité de ce superbe vol.....


vendredi 24 avril 2015

Archéologie aérienne, un début ?

Une chaude journée de printemps, peu de vent, l'idéal pour voler en paramoteur.
Je pars donc pour Vinneuf, avec les deux ailes, on ne sais jamais, s'il y avait un peu de vent....
Nada, que dalle, pas de vent. A peine un petit souffle venant de l'est.
Je sors donc la Koovan's, pas la peine de m'emmerder avec la Tomawack pour rien.
Un décollage parfait en dos voile, une petite course, et c'est parti pour un moment de bonheur.
 Je pars sur Vinneuf, Champigny et Chaumont.
Vinneuf et Courlon sur Yonne
Le paysage est magnifique, des touches de blé vert, de jaune grâce au colza, de terre nue, un peu de bleu des cours d'eau......

L'Yonne

Pendant le vol, je remarque des traces géométriques dans les champs. Un patient m'a expliqué qu'il s'agit probablement de traces de vestiges préhistoriques (je ne me rappelle plus de l'époque exacte)

Trois traces rectilignes dans le champ

Cercles sur mon aéroport

En résumé, un plaisir de tous les instants, pendant près d'une heure.
Pour le fun, quelques images en vidéo, le déco et l'atterrissage sont jolis.

La trace de la ballade est ici.








mardi 21 avril 2015

Après le travail, un moment de détente.

Huit jours sans voler, ça commence à faire.
J'ai passé la journée à regarder les prévisions de la soirée, le vent baisse à partir de 19h00, et c'est justement l'heure où je fini de travailler....
Un échange de SMS avec Djeak, qui pense qu'il y aura trop de vent.
Je tente d'y aller quand même.
Direction Gisy les nobles, il ne devrait pas y avoir grand monde.
En arrivant, il y a un petit peu d'air qui vient du nord, mais pas énorme.
Optimiste, je sors la Tomawack, et tente de décoller.
C'est très juste en vent, Djeak s'est planté.
Presque un quart d'heure pour y parvenir....
Enfin, je pars, en dos voile, après une course longue, très longue.
En l'air, un truc semble bizare pendant la montée, mais je ne sais pas quoi.
Fort de ma précédente connerie (voir le post du 6 avril 2015 ), je regarde les suspentes. rien, tout est bon.
Bon, je suis assez monté pour être en sécurité relative, je tourne à droite pour éviter la piste des avions. Enfin je veux, mais ça bloque. Il y a un nœud dans la commande, au niveau de la poulie.

Bon, il n'y a qu'à défaire le nœud. Facile et rapide, mais très con de ma part d'avoir raté ça au décollage.
Je monte encore un peu, mais ça commence à secouer de plus en plus.
Un peu trop à mon gout.
Et je me rends compte que je n'avance pas, un coup d’œil au GPS, je suis à 6 km/h.
Merde, Djeak avait raison, il y a du vent!


Il est temps de renoncer, je ne passerai pas voir la maison de Mireille ce soir...
Demi-tour, retour rapide, je monte à  près de 70 km/h et atterris tranquillement, il n'y a pas de vent au sol..

A la maison, je regarde en détail les traces GPS: A la hauteur maximale atteinte pendant ce vol (227m, soit une hauteur par rapport au terrain de 157mètres) ma vitesse est descendue à 2.52 km/h!!!
La trace est ici pour voir ça en détail.



jeudi 9 avril 2015

Quatres copains et un ciel bleu

Un rendez-vous comme je les aime: On va voler vers Fouchères, décollage prévu sur le terrain du bout du monde.
Quand j'arrive sur le terrain, Papy, José et Seb sont déjà installés.
Je fait de même et constate qu'il manque une seule chose: un peu de vent.
Bon, pas le choix, je sors la Koovan's, je n'ai que trop peu de chance de décoller avec la Tomawack.
Seb décolle, suivi de José.
Je m'élance, et décolle du premier coup. Content.
Papy met un peu plus de temps et nous rejoint en l'air.
José voulait voir des bricoles sur Brannay, nous y allons tranquillement.
C'est quand même super agréable de voler avec les copains. On se suis, se tourne autour, se salue...
Je n'ai pas ma caméra, je l'ai prétée à Djeak qui en avait besoin pour son travail, dommage.
Je prends donc quelques photos avec mon téléphone pour le plaisir.
Retour après une petite heure de vol, c'est la durée que je m'était fixé pour être tranquille au niveau essence.
Seb est vraiment partout





Petit château vers Brannay
 Un dernier détour par Senoble et Renault:


Seb atterrit, je le rejoins, Papy est trop long et va dans les colzas, José fait de même.
Djeak arrive en voiture avec la famille, juste pour nous dire bonjour.
Ca papote un peu, nous finissons chez José pour un petit verre et retour maison avec le plaisir en bonus.
La trace est ici.

lundi 6 avril 2015

Le vol le plus court, et le plus dangereux

Un week-end de trois jours, mais un jour de pluie et un jour et demi de vent, ça ne laisse pas trop de marge pour aller voler.
Il me reste donc le lundi de Pâques, en fin d'après-midi.
Et encore... Le vent est instable, il a été trop fort et trop faible, irrégulier, nul, bref très variable.

J'arrive sur mon terrain favori, mon aéroport particulier de Vinneuf.
Le temps d'installer le matériel, je note deux choses pas terrible:
- Le vent est très irrégulier.
- Le moteur cale au ralenti.
Ca commence pas très bien, et ça continue: Pas moyen de décoller.
Le vent est très instable, varie de 90° en quelques secondes, et je n'ai pris que la Tomawack, qui aime un minimum de vent.
Après quelques (trop nombreuses) tentatives, je réussis à me casser la figure en reculant et crabant à gauche, je tombe au sol proprement, sans que le moteur ne touche le sol. Ouf. Sauf que j'ai abimé ma montre. Rien de grave, mais ça m'enerve.

Un essai en dos-voile, ça part bien, sauf que le vent à changé, il tourne ma voile face à l'est.
 Mon moniteur m'avait dit de toujours suivre la voile, c'est ce que je fait.
Je décolle, lâche les suspentes pour m'assoir (comme d'habitude) et quand je les reprends, la voile repart à droite, très fort, vraiment trop fort.
Il y a un problème.
Dès que je touche les freins, juste le poids de la main, ça file à droite.
Je regarde l'aile et .... merde.... Un nœud. Un gros noeud.
Une des suspentes du frein droit est passé au milieu des autres, elle tire sur les trois quarts des suspentes droites.
Un grand moment de solitude.
Je ne me sent pas très bien avec cette aile lourde, qui ne demande qu'à partir à droite. J'ai vraiment l'impression que je suis à la limite du décrochage de ce coté avec le simple poids de ma main
Réflexion rapide: si je tourne à droite, ça passe, mais je ne sais pas jusqu'à quand ça tiendra.
Si je veux tourner à gauche, je casse l'aile et je risque le décrochage.
Pas bon, je suis mal.

De toutes façons, il faut que je me pose, pas la peine d'attendre.
Heureusement, mon aéroport est assez grand, j'ai de la marge pour choisir le point d'atterrissage.
Je choisi le coté opposé à la voiture, pas la peine de chercher les problèmes, ils sont déjà là.
Longue finale pour la sécurité (?), pas très rectiligne et mais attero propre, mieux que je n'espérais.
Je m'en sors bien.
La trace du vol le plus court est ici.
Deux minutes trente de vol et de trouille, moins d'un kilomètre parcouru, pourtant je n'ai jamais été aussi peu fier pendant l'ensemble d'un vol.

Pour me remettre de ce vol raté, je décide de repartir, après avoir remis à la bonne place la suspente baladeuse.
Encore quelques essais, ce n'est vraiment pas ma journée, et je décolle enfin, bien comme il faut.
Super. Ben non. après quelques minutes, je m'emmerde.


Pas la peine de forcer le destin, je décide de me poser. Si je n'ai pas de plaisir, ce n'est pas malin de continuer alors que sais que je suis énervé, et que c'est dans ces moments que je risque le plus de merder.
Attero impeccable, je me permets même de tirer la voile vers la voiture alors qu'elle est encore en l'air.
La trace est ici

jeudi 19 mars 2015

Aux royaumes des parapentes

Ce jeudi, trop de vent pour voler avec mon paramoteur.
Mais c'est le temps idéal pour les parapentistes.
Valmy et Julien doivent aller à Malay pour s'y entrainer.
Je décide d'y passer aussi.
Impressionnant:
L'aire d'atterrissage est large de 20 mètres, coincée entre un champ et un bosquet d'arbres. Et, pour être face au vent, il faut faire un dernier virage court et une finale de dix ou douze mètres!
Pour décoller, ce n'est pas pour débutant non plus: une surface pas bien grande, un précipice, et on ne voit même pas l'aire d'atterrissage.



Outre Valmy et Julien, Il y a Olivier, qui vient, je crois de Tonnerre.
Quand ils quittent le terrain, Julien m'invite à aller à Rigny le Ferron, où ça vole bien pour continuer mon observation.
C'est parti pour Rigny.
Cinq ailes en vol m’accueillent,  et personne au sol.
Les cinq voiles font des huits majestueux, je sors ma caméra, et filme ce spectacle.
Certains se posent rapidement, on échange quelques mots, ils repartent, et le spectacle continue.



Honnêtement, je n'ai pas appris grand-chose, mais l'envie monte....
Sauf que je ne suis pas prêts à passer des journées à faire uniquement des boucles le long d'une crête, je ne lâcherai donc pas le paramoteur.

Pas de trace, pas de vol, mais une bonne après-midi.

jeudi 12 mars 2015

Du monde à Vinneuf

Hier Seb me demande les coordonnées GPS de mon aéroport personnel, Bruno souhaite y faire des essais. Deux SMS plus tard, c'est fait.
Ce midi, Seb me dit que Bruno y va dans l'après-midi Ca tombe bien, je pensais y faire un tour pour voir si c'est volable. La météo prévoit du vent à 20 km/h, c'est limite. A voir sur place.
Comme j'hésite, Bruno prends une aile d'école pour me montrer que c'est faisable.



Bon. Je n'ai pas le niveau, c'est sur ;-)

Je pars faire une petite balade, mais le vent est toujours présent et je ne pense pas rester en l'air bien longtemps.
Je m'amuse à suivre la route, pour travailler ma précision. Au premier essai, c'est bon, mais le vent est bien de travers, je suis à 45° de ma ligne de vol. Ca souffle fort...

Au second essai, le vent est devenu irrégulier, et la trajectoire est bien moins bonne. Je préfère rentrer que de risquer d'avoir un vent encore plus irrégulier pour l'atterro.
 



La trace est ici.

dimanche 8 mars 2015

Vol avec Eric

Djeak nous envoie un SMS pour un vol à Villebougis.
OK, je décide de le rejoindre directement sur le terrain et lui envoie un SMS de confirmation.
Eric est déjà sur place, nous attendons un peu et décidons de partir en vol à deux, il n'y a personne....
Un vol d'une demi-heure, et comme je me sens un peu mou, je me pose.
Eric continue à voler, en profite pour voler avec les grues.
Regarder sa vidéo, elle est sympa!!
Je regrette de m'être posé en voyant ça...
Moi, ce n'est pas une grue mais Eric que j'ai filmé ;-)


Pas de traces de Djeak cet après-midi....
La trace est ici.

samedi 7 mars 2015

Beau temps, beau vol avec les copains

   Depuis le début de la semaine, un week-end de beau temps est prévu.
et il fait beau.
   Djeak m'appelle le matin pour un vol en fin d'après midi. lui ne volera probablement pas, il a des élèves, mais il y aura du monde.
   Nous nous retrouvons chez lui, puis allons à Villebougis.
   Sur place, le vent est régulier, mais faible je sors la Tomawak, pas sur de décoller avec.
   Michel n'a pas volé depuis longtemps, je lui propose une balade à deux. Il est OK, mais me dit qu'il fera une reprise des sensations avant de partir en balade. Je prends la radio, au sol ça passe bien.
   J'ai beaucoup de mal à lever l'aile, Djeak a pitié de moi et m'aide à partir.
   J'attends Michel en tournant sur place, il décolle enfin, fait quelques tours mais me dit à la radio qu'il a trop froid et ne fera pas de balade. J'ai du mal à le comprendre, dès que mon moteur tourne, le volume est trop faible. Je l'ai pourtant réglé à fond...



   Je me balade donc en radada, j'arrive même à me faire peur en étant trop près du sol pendant quelques longues secondes (J'ai du plier les jambes pour ne pas toucher le sol avec mes pieds).
   Michel se pose un peu loin das le terrain, Djeak lui propose de lui rentrer l'aile en vol (Qu'il est gentil ;-) ) Je le survole et le vois galérer pour décoller, ça me fait du bien de voir que je ne suis pas le seul. Il décolle sans aide et bien plus vite que moi quand même....
   J'atterris enfin, 40 minutes de plaisir et découvre que ma caméra était de travers, j'ai filmé mon casque et mes genoux pendant toute la balade. Merde. Il y avait des passages de grues superbes et je n'ai aucune image.
  En prime, Michel me dit qu'il était OK pour une balade, mais je ne l'ai pas entendu à la radio. Ce sera pour une prochaine fois. Demain?
La trace du vol est ici. Pas très beau à voir ;-)

jeudi 5 mars 2015

Un petit vol à Vinneuf

   Un jeudi où il fait beau, c'est parfait pour se balader vers Vinneuf. Comme le vent est du nord, je pars donc vers Balloy que je ne connais pas.
   Une visite de 20 minutes où se mêlent un agriculteur, un plan d'eau, un village et un lapin....


La trace est ici

dimanche 22 février 2015

Seul, ce n'est pas une raison pour ne pas voler.

Une belle journée d'hiver, un petit soleil agréable, un vent qui semble régulier, que demander de plus un dimanche?
Quelques copains pour voler, mais ça, c'est raté. Deux SMS, un coup de fil, mais personne de disponible.
Pas bien grave, je fais faire un petit tour en solo.
Je décide de tenter l'aéroport de Vinneuf, qui, à ce que l'on m'a dit est à nouveau praticable. L'herbe a été effectivement coupée, le terrain est toujours aussi grand, et bien calme.
Parfait.
Le vent est du sud-est, je vais donc aller vers Vinneuf pour avoir un retour rapide avec le vent.
Je me prépare tranquillement, sors la Tomawack puisque le vent est soutenu.
Peu avant le décollage, un grand-père et sa petite fille passent en vélo, et s’arrêtent. Je les préviens que j'en ai encore pour cinq minutes avant le décollage, mais ils ne sont pas pressés.
C'est donc devant deux spectateurs que je décolle proprement.
Un petit tour pour les saluer, puis je file vers Vinneuf.
Je tourne gentillement dans les champs, fais peur à quelques lapins, croise des promeneurs et des quadistes (?)  puis décide de revenir.
En effet le vent n'est pas si régulier que ça, ça secoue un peu, et des nuages approchent.
Demi-tour, atterro moyen le vent n'était pas dans l'axe de l'atterrissage et je dois lutter pour garder l'aile au sol.
Une vidéo plus tard, et voila une bonne session pour finir la semaine de bonne humeur.



Pas de trace, j'ai oublié mon GPS dans la voiture.


dimanche 8 février 2015

Ma femme est un ange.

Après avoir acheté un chariot, il faut monter un moteur dessus.
Comme je suis un super-bricoleur, il me faut du temps, beaucoup de temps...
J'ai acheté quelques bricoles, encore d'autres, il en manque encore un peu, mais, après des heures de travail acharné, c'est à peu près fait.
Le problème, c'est que le garage est plein (deux motos, une remorque, un établi et un ensemble de conneries que ce doit de posséder un propriétaire de garage)
Donc, pas moyen de travailler dans le garage, le charriot doit faire deux mètres sur un mètre soixante.
La seule pièce disponible possible, c'est le salon.
Oups.
Oui, ça rentre facilement, c'est au rez de chaussée, et pas trop loin de l'établi.
Et ma compagne, Pascale, n'a rien dit.
MERCI.
Il faut reconnaitre que c'est assez encombrant, mais ça se case quand même.

Le moteur à l'air de tenir en place, je dois encore changer quelques vis, ajouter une cadène (j'en ai commandé cinq et il en fallait six) vérifier que les vibrations ne dévissent pas l'ensemble, ajouter une sangle de sécurité, et ce sera fini.
En attendant, je n'ai pas pu m’empêcher de tester le joujou.
Comme l'aile que j'ai acheté à Seb est en révision chez Dominique (un super pro), il me reste le jardin pour faire des essais au sol.
Et c'est parti! J'étais tellement pressé que je n'avais pas encore monté la sellette, mais j'ai fais mon tour de jardin.


Encore quelques bricoles et ce sera bon pour des essais de centrage chez José!!

dimanche 25 janvier 2015

Un vol, et une vidéo

Hier, samedi, j'ai changé la bougie du Top 80, réglé le ralenti, reste juste les essais en vol à faire.
Ce dimanche, le temps est correct, sans plus.
J'appelle Seb qui va voler à Piffonds avec Papy, Gilles et Jean-Claude.
Ok, c'est parti.
Seb fait fait un décollage en biplace, Gilles est déjà parti, il volera plus d'une heure.
Jean-Claude reste sur place, il n'est pas en forme.
Le vent est modéré, je tente la Tomahawk. Je tente encore et encore.
Pas moyen de lever correctement cette aile, il n'y a pas assez de vent.
Je sors la Koovan's et décolle dès le premier essai.
Et, en prime, la vidéo est correcte.


La trace du vol est ici.

dimanche 18 janvier 2015

Tout petit vol, mais ça fait du bien.

Rendez-vous, comme d'habitude, sur le ray-grass de José pour du gonflage.
OK, le vent sera fort, mais c'est peut-être possible de voler quand même.
Je prends les deux voiles solos (on ne sait jamais) et le moteur.
J'embarque aussi mon père, qui est chez moi pour quelque jours.
Passage chez Djeak, rencontre avec Didier, un nouvel élève, et nous partons pour Villebougis.
Arrivé sur place, le vent est quand même fort, limite trop fort.
Il y a José qui arrive puis Pierre nous rejoint rapidement. Pas de Seb, qui a pourtant dit qu'il viendrait.
Quelques gonflages.
Avec ce vent, la Tomahawk est un régal à lever, elle a même tendance à m'entrainer un peu.
J'attends un peu, histoire de sentir l'évolution de ce vent.
Il semble se calmer un peu.
Je m'équipe donc, lève parfaitement la voile, fais demi-tour, accélère et .... le moteur a des ratés.
A la première série de ratés, je pense qu'une sangle frotte contre le coupe-circuit, à la seconde, j'ai l’œil dessus mais rien ne touche le bouton de contact.
Je coupe les gaz, il y a un problème.
Essai de gaz moteur au sol, tout semble parfait.
Je décide de repartir, tout va à peu près bien. A peu près, parce que j'ai eu un petit raté, et que je ne sens pas le puissance normale arriver à l'hélice. Ca fonctionne, mais ce n'est pas parfait.
Ou je me fais des idées?
Après quelques minutes, tout semble OK, le moteur accélère rapidement, et semble prendre tous ces tours.
Par sécurité, je tourne en rond aux alentours de terrain, pas trop bas pour pouvoir atterrir  en cas de pépin.
Atterrissage parfait.
Avant de ranger le matériel, je propose à Djeak de faire un petit tour avec.
La vidéo du jour est un résumé du petit tour de Djeak.

Remarquez le pro au décollage: il lève l'aile, attend que Pierre lui tende l'accélérateur et lui démarre le moteur. C'est pas un chef, ça?

Il se fait un petit plaisir, mais reviens en me disant que le moteur ne monte pas bien dans ses tours.
OK, j'ai donc un peu de bricolage en prévision....
La trace du mini vol (le mien) est ici.

samedi 17 janvier 2015

Un chariot, c'est acheté

Seb m'apprends que Didier et sa femme vendent un charriot.
Un coup de fil, une visite, et c'est acheté.

Dans la hâte, j'ai oublié de prendre des photos, ce sera pour plus tard.

De retour à la maison, grosse déception: l'adaptation ne sera pas si facile que ça.
Rien ne correspond: la base repose sur un petit cylindre métallique qui ne me parait pas assez solide.
L'appui du milieu n'est pas assez large, et la fixation du haut tombe dans le vide.
Bon, ben, il n'y a qu'à arranger tout ça...